Si les fast-food américains restent très critiqués sur certaines de leur pratique comme l'accès en libre-service aux sodas, il était peu probable de voir le concept arrivé sur le marché français, au vu de la taxe sur les boissons sucrées et light. Toutefois, l'enseigne de restauration rapide Quick a décidé d'équiper la totalité de ses points de vente de « drink spot ».
Ceux-ci permettent d'ores et déjà aux clients de certains restaurants d'avoir accès aux différents sodas, sans aucune restriction, pour tout achat d'un menu. Mis en place depuis 2013 par la firme, ces « open bar » de boissons non alcoolisées devraient s'étendre au reste du réseau d'ici à 2015. Interrogée par l'AFP, la porte-parole du groupe Valérie Raynal s'est défendu de l'impact que cela pourrait avoir sur la consommation de sodas. Elle affirme qu'avec la présence de ces « drink spot » l'augmentation de la consommation de ce type de produits n'excède « pas plus de 10% » chez les clients.
Bien que de plus en plus de « drink spot » soient installés dans certains restaurants, hôtels ou lieux de loisirs, les études sur leur impact en France restent peu nombreuses.
Articles dans la même catégorie
A l'heure où l'or bleu est déjà un défi pour de nombreux pays, le bar Casa del Agua collecte, distille, purifie et reminéralise l'eau de pluie de Mexico, sous les yeux du client. Servie et commercialisée, elle est vendue 40 dollars la bouteille de 600 mL.
L’été se termine et, avec lui, les excès alimentaires sans lesquels les vacances ne seraient pas vraiment des vacances. C’est le moment parfait pour nettoyer notre organisme malmené. Wandertea, une marque 100% française, nous propose 2 cures de détox.
C’est en plein cœur de Paris qu’une des plus célèbres spécialités belges a implanté sa nouvelle ambassade. La capitale accueille en effet sa première friterie 100 % fait maison, baptisée « PONT-NEUF, La frite Française ».
En Grande-Bretagne, une étude du Daily Mail démontre que les glaçons, servis dans 6 chaînes de fast food, contiennent plus de bactéries que l’eau des toilettes. Pourtant, un rapport de l’Agence de santé avait déjà détecté ce problème en 2011.