Nous ne sommes plus qu’à quelques heures de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Rio. Cet événement est à la fois un laboratoire et une fantastique vitrine pour les équipementiers sportifs, qui dévoilent pour l’occasion leur dernières prouesses technologiques. C’est le cas par exemple de Nike. La marque américaine sera présente dans de nombreuses disciplines et notamment sur les épreuves de sprint : la championne Shelly-Ann Fraser-Pryce portera une paire de Zoom Superfly Elite développées spécialement pour elle, avec une semelle imprimée en 3D.
Shelly-Ann Fraser-Pryce, 29 ans, est triple-championne du monde du 100 mètres, qu’elle parcourt en 10s70 (son record personnel, établi lors des JO de 2012). Pour concevoir ce modèle ultra-personnalisé, Nike a observé l’athlète chaque seconde du déroulement de ses sprints afin de déterminer quels points pouvaient être améliorés. C’est ainsi qu’une semelle très particulière, imprimée grace à la technologie 3D, est supposée pallier une imperceptible baisse de régime de la championne, juste avant ses derniers mètres. Plusieurs versions ont été testées par la sprinteuse avant d’arriver au modèle définitif de cette paire de Zoom Superfly Elite. Chaussée de ces merveilles, Shelly-Ann Fraser-Pryce espère gagner 1/10ème de seconde sur son temps record.
Photos : Nike
Articles dans la même catégorie
Après le scandale de la fraude aux normes anti-pollution en 2015, le groupe automobile fait encore l’objet d’une mauvaise publicité. Des chercheurs ont démontré une faille dans le système de sécurité informatique des véhicules sans clé de contact.
Accessoire indispensable des femmes, le sac à main se modernise et devient un véritable chargeur de téléphone, caché dans des pochettes en cuir. Et pour plus de choix, deux marques se partagent déjà le marché : Mighty Purse et Everpurse.
Pour lutter contre les activités commerciales de revente de cigarettes, le gouvernement vient de durcir la réglementation concernant les achats de certaines denrées telles que le tabac et l'alcool, au sein des pays de l'Union européenne.
Depuis 2011, les italiens délaissent peu à peu la voiture et investissent dans les bicyclettes. D’ailleurs, le volume des ventes de vélos a largement dépassé celui du secteur automobile. Un système comparable au Velib’ est même en test à Milan.