En mai dernier, la première adjointe à la mairie de Paris Anne Hidalgo, avait annoncé une possible révision de la «carte des zones touristiques, dans le cadre d’une discussion avec les organisations syndicales». Toutefois, les élus du Front de Gauche ont demandé au Conseil de Paris de réaffirmer sa décision.
En effet, les Périmètres d’usage de consommation exceptionnel (PUCE), existant exclusivement dans les métropoles de plus de 1 000 000 d’habitants, permettent à certaines structures d’ouvrir le dimanche. Les employés ne sont par ailleurs aucunement obligés d’accepter le travail dominical et reçoivent une compensation (repos, paye doublée...). Dans le cas des zones touristiques, le travail dominical peut être une obligation sans compensation ou majoration de salaire.
Ainsi, les élus au Conseil de Paris se sont prononcés et affirme que «la Ville s’engage à ne créer aucune nouvelle zone touristique ou PUCE qui ne relève pas d’une demande soutenue par le maire d’arrondissement et concertée avec les riverains, les syndicats des salariés, les syndicats des professionnels et les acteurs du monde associatif concernés».
Par ailleurs, la question des ouvertures dominicales des magasins de bricolage avait déjà été soulevée, il y a quelques semaines.
Articles dans la même catégorie
La ministre de l’artisanat et du commerce souhaiterait réglementer le fonctionnement et l’implantation des «drives», en France. Ces dépôts ne sont régis par aucune législation et commence à être présents dans toutes les villes et sphères commerciales.
Établir des plannings nécessite de prendre en compte de nombreux paramètres dont les spécificités de chaque salarié, l'amplitude horaire et le Code du travail. Aussi, cet article répertorie les informations à ne pas négliger pour simplifier cette tâche.
Depuis 2006, des organismes à but non lucratif sont chargés de coordonner la collecte des déchets d'équipements électriques et électroniques. Ils gèrent aussi les démarches concernant l'éco-participation.
Fortement critiqué par bon nombre de coopératives, l'amendement inclus dans la loi Macron prévoyant le plafonnement de la durée des contrats d'affiliation a été supprimé. En revanche, leurs échéances devront être uniformisées.