Dans le second opus de la saga Retour vers le Futur, Marty McFly roulait jusqu'au 21 octobre 2015 pour éviter à son futur fils de finir en prison. Débarquant dans cette époque, l'adolescent entre alors dans un café rétro et commande un Pepsi, mais pas n'importe lequel.
La bouteille qui sort du comptoir dans une capsule transparente a la particularité d'être un produit fictif de la marque de soda, créée exclusivement pour le tournage du film. Mais pour fêter l'arrivée de Marty dans le futur, Pepsi commercialisera le 21 octobre prochain, 6 500 bouteilles de Pepsi Perfect en édition limitée, vendue à un prix unitaire de 20,15 $ (environ 17 €). Pour les fans de la saga cinématographique, cet objet de collection ne sera pas facile à obtenir, les stocks destinés à la France étant très restreints.
À moins de se tourner vers Ebay. En effet, certaines bouteilles offertes durant le Comic Con de New York la semaine dernière ont d'ores et déjà été mises aux enchères sur la plateforme commerciale. Avec cette option il sera nécessaire de mettre la main au portefeuille pour débourser jusqu'à 655 €. Quant aux fans inconditionnels, l'un d'eux pourra toujours se procurer la version offerte par Universal au début des années 90, pour la modique somme de 7 362,49 $.
Articles dans la même catégorie
L’enseigne French Coffee Shop vient d’implanter un tout nouveau concept dans une boutique située au centre-ville de la ville de Nancy. De plus, le 4 décembre 2017, un point de vente de French Coffee Shop a été inauguré à la place Gordaine, à Bourges.
C’est en 2015 que Raphaël Francisco et Cheyma Bourguiba s’unissent pour ouvrir, Aujourd'hui Demain, le premier concept store végane de France, grâce notamment à une campagne de crowdfunding lancée sur KissKissBankBank.
Le réseau de franchise illycaffè a ouvert sa première boutique en franchise dans la ville de Bordeaux en ce début d’année 2018.
Dans une tribune écrite par 85 médecins et nutritionnels, Carrefour est critiqué vis-à-vis de son nouvel étiquetage nutritionnel, « aquellefrequence ». Celui-ci ne correspondrait en rien au système unique et simplifié, prévu par la loi de santé publique.